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Étude : un Français sur trois trompe son partenaire

Dans la plupart des relations, l’infidélité entraîne une fin prématurée. Quelle est la fréquence de l’infidélité chez les Français ?

Environ un citoyen Français sur trois (32 %) a trompé son partenaire. 38 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles cherchaient tout simplement à se changer les idées ; 21 % ont mis en cause une relation qui ne se déroulait pas bien ; 19 % étaient frustrées sexuellement. Il est intéressant de noter que les Français semblent se venger assez rarement : Seule une personne sur dix a décidé de faire une infidélité après avoir été elle-même trompée. Comme on le dit si bien : ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse.

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Un baiser n’est pas si grave

Quand commence la tromperie et où s’arrête-t-elle ? 29 % des personnes interrogées estiment qu’un baiser n’est pas si tragique, 11 % le refusent et 11 % déclarent avoir été ivres pendant les câlins. Pour la moitié des personnes interrogées, embrasser quelqu’un d’autre est un “no-go”.

Les conséquences de la tromperie

40 % des Français qui apprennent l’infidélité de leur partenaire mettraient immédiatement fin à la relation ; tout de même un tiers (31 %) fait preuve de clémence et est ouvert à une deuxième chance.

23 % des participants à l’étude voient la situation de manière plus détendue et proposeraient une relation ouverte. Chacun serait alors libéré de l’engagement fixe et pourrait faire ce qu’il veut.

La vengeance est douce, dit-on. Pourtant, peu d’Français (six pour cent) semblent être intéressés par une vengeance.

Tromper, mais ne pas être trompé

Plus d’une personne sur deux (53 pour cent) a déjà été infidèle ou peut au moins s’imaginer coller ses lèvres à une personne étrangère. Ironiquement, un infidèle sur quatre (23 pour cent) mettrait fin à sa relation s’il était lui-même trompé.

Les Français mariés semblent être un peu plus accommodants en matière de tromperie. La grande majorité (85 pour cent) n’apprécierait certes pas une infidélité, mais accorderait une deuxième chance à son partenaire.

Quand le risque d’une infidélité est-il important ?

La a déjà montré que l’insatisfaction augmente le risque d’infidélité. Parmi les raisons classiques, on trouve le manque d’intérêt au lit, mais aussi le besoin de changement, qui peut à son tour être le signe d’une relation qui traîne.

Sur son site Internet, l’auteur de l’étude a également révélé un autre détail concernant l’infidélité : Après une relation de trois ans, le risque d’infidélité est le plus élevé. Et : en été, les infidélités sont particulièrement nombreuses.

Étonnamment, il n’y a pas de grandes différences entre les sexes. Il y a presque autant d’hommes infidèles (51 %) que de femmes (45 %).

Il y a tout de même une bonne nouvelle : malgré une infidélité, de nombreux couples finissent par rester ensemble. Il est difficile de dire si l’infidélité elle-même en est la cause. Le fait est qu’il peut donner un coup de fouet à une relation. Elle peut être le signe que quelque chose ne va pas dans le couple – et ce problème peut être résolu dans de nombreux cas.

Photo : Mocker – Dreamstime.com

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